Avoir « coché toutes les cases» ne suffit plus… pourquoi ?

Vous avez suivi le chemin qu’on attendait de vous, tracé comme une évidence : études sérieuses, emploi stable, peut-être une famille, un logement individuel et confortable. La « bonne » dose d’intégration sociale : loisirs, sport, sorties… Sur le papier, tout va bien ! Vous avez coché toutes les cases… et pourtant, quelque chose cloche. Un vide subtil s’installe, un désengagement, une impression de passer à côté de l’essentiel.

Ce sentiment, beaucoup le partagent aujourd’hui. Dans cet article, je vous propose d’explorer pourquoi ce malaise n’a rien d’anormal et comment il peut, au contraire, s’avérer une opportunité pour retrouver du sens.


Les repères traditionnels ne satisfont plus autant

Pendant longtemps, la réussite personnelle s’est mesurée socialement à l’aune de la sécurité. Un CDI, un salaire correct, des enfants, un statut rassurant et nous voici confortablement installé·es. Mais dans un monde en mutation, ces repères traditionnels ne suffisent plus.
Vous avez peut-être cette petite voix qui murmure :

  • « Est-ce vraiment ça, ma vie ? »
  • « J’ai réussi, mais je ne suis pas satisfait·e. »
  • « Je fais tout ce qu’il faut… et pourtant je ne suis pas heureu·se. »

Ce sentiment de décalage est d’autant plus fort que notre société valorise l’optimisation, la performance, la vitesse. Or, cette obsession de l’efficacité nous rend fragiles. Fragiles face au burn-out, fragiles face à la perte de motivation, fragiles face aux crises.

Alors, pourquoi « avoir coché toutes les cases » ne suffit plus quand on a « tout ce qu’il faut » ?

  1. Parce que le monde est en mutation. Nos anciens modèles de vie ne suffisent plus à répondre aux défis d’aujourd’hui.
  2. Parce que le sens est devenu une nécessité. Nous ne voulons plus seulement travailler pour gagner notre vie, mais pour contribuer, créer, transmettre.
  3. Parce que nous sommes plus que nos rôles sociaux. Derrière l’ingénieur, la soignante, le manager… il y a une personne avec des envies profondes, parfois très différentes de ce que le CV raconte.
  4. Parce que les chemins atypiques sont de plus en plus légitimes. Ce qui paraissait marginal hier – ouvrir un tiers-lieu, quitter la ville pour la campagne, lancer une activité artisanale ou artistique – devient aujourd’hui une réponse crédible aux impasses du modèle dominant.

Avoir coché toutes les cases ne suffit plus : l’opportunité derrière la crise

Ce que l’on juge comme une crise est en réalité souvent le signe qu’une part de nous aspire à davantage de cohérence et de liberté.

Et si ce malaise était au bout du compte une invitation ? Une invitation à ralentir, à écouter ce qui compte vraiment. Une invitation à tracer un chemin peut-être moins linéaire, plus lent, mais plus fidèle à soi-même.
L’histoire regorge de projets qui paraissaient « fous » au départ et qui sont devenus des modèles inspirants.

Peut-être que le vôtre en fait partie.


Et vous, ressentez-vous ce décalage entre la vie que vous menez et celle à laquelle vous aspirez ?
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